Commentaires 0-1 Jean-Pierre DARROUSSIN


Cycle Jean-Pierre DARROUSSIN (acteur)

 

Les moins bons films visionnés (0/3 ou 1/3)… susceptibles de plaire à d’autres :
Liens de tous les films, Monde en Question

  • Psy (1981)

    Cette comédie est d’emblée trop bavarde pour susciter le montre intérêt.
    Sens Critique

  • Notre histoire (1984)

    C’est l’histoire d’une rencontre artificielle et verbeuse… Le mot FIN arrive rapidement [05’33]. Jean-Pierre Darroussin ne sauve pas le film du désastre.
    Sens Critique

  • Ki lo sa ? (1985)

    Le jeu des acteurs est rapidement insupportable [09’10].
    Sens Critique

  • On ne meurt que deux fois (1985)

    Cette adaptation sombre très vite [11’50] avant même que n’apparaissent Charlotte Rampling qui fait son numéro habituel de la vamp sulfureuse et Michel Serrault faisant le sien du petit fonctionnaire facétieux face à un Jean-Pierre Bacri beaucoup plus crédible dans celui du barman blasé. Son rôle éphémère ne sauve rien.
    Sens Critique
    Robin COOK, On ne meurt que deux fois, 1996 [Partage en ligne].

  • Mes meilleurs copains (1989)

    La musique extradiégétique de supermarché du générique n’annonce rien de bon. Je laisse rapidement tomber car tout est inconsistant [08’10].
    Sens Critique

  • Riens du tout (1992)

    Comédie aussi politiquement correcte que poussive.
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  • L’argent fait le bonheur (1993)

    D’emblée Jean-Pierre Darroussin débite un discours bien lourd sur les cités. Je fuis très vite ce prêche catho-laïque… de gauche.
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  • Cache Cash (1994)

    Tout est gentiment insignifiant.
    Sens Critique

  • L’eau froide (1994)

    Ce film, vu le 26/02/2022, commence par un discours de propagande identique à celui d’aujourd’hui contre l’armée russe : c’étaient des gamins venus du Caucase, de Mongolie, c’étaient des sauvages [00’54]. La suite est terriblement bavarde et donc terriblement ennuyeuse. Jean-Pierre Darroussin n’est pas du tout crédible dans le rôle d’un commissaire.
    Sens Critique

  • À la vie, à la mort ! (1995)

    La mise en scène et le jeu des acteurs de ce film terriblement bavard sont inconsistants.
    Sens Critique

  • Mon homme (1995)

    Éloge de la prostitution ou dénonciation du mariage (autre prostitution) ? La thèse s’englue…
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  • Un air de famille (1996)

    Agnès Jaoui joue la râleuse féministe et Jean-Pierre Bacri celui du râleur misogyne et misanthrope comme dans Cuisine et dépendances, mais en moins bien car plus convenu. Catherine Frot endosse brillamment le même type de personnage que Zabou Breitman et Jean-Pierre Darroussin innove, mais ils ne sauvent qu’en partie le film de l’ennui de la répétition y compris de la ponctuation musicale.
    Sens Critique

  • Marius et Jeannette (1997)

    Je n’arrive pas à entrer dans l’univers fleur bleu dans un décor social de Robert Guédiguian. L’accent marseillais de Jean-Pierre Darroussin n’est pas convaincant. Tout le monde parle et parle… avec le même accent.
    Sens Critique

  • Marius et Jeannette (2014) [Un film et son époque]

    Le documentaire fait la promotion du film sans convaincre.

  • On connaît la chanson (1997)

    J’abandonne ce film inepte quand Götz Burger, interprétant Von Choltitz, chante J’ai deux amours de Joséphine Baker [01’54].
    Sens Critique

  • Le poulpe (1998)

    Jean-Pierre Darroussin ne sauve pas ce film qui, sous des airs barjo, est très conventionnel. Les dialogues décalés fatiguent à la longue.
    Sens Critique

  • C’est quoi la vie ? (1999)

    Les dialogues terriblement verbeux gâche cette romance écolo sur le Causse… mythologique.
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  • La bûche (1999)

    Comédie grinçante, mais superficielle.
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  • La ville est tranquille (2000)

    Le long travelling panoramique de Marseille qui se termine sur un gamin jouant du piano symbolise les ambitions ratées d’un film plus prétentieux que convaincant.
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  • Le goût des autres (2000)

    Le discours féministe d’Agnès Jaoui est ridicule [13’42]. L’irruption de Castella dans la loge de Clara ne tient pas et d’autant moins qu’il n’a plus son garde du corps qui normalement ne le lâche pas d’une semelle [30’08]. Je craque après les commentaires vaseux sur le téléfilm que visionne M. et Mme Castella [37’45]. L’histoire parallèle qui oppose le trio du sexe (Manie, le chauffeur et le garde du corps) à celui des sentiments (Castella, sa femme et Clara) ne fonctionne pas.
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  • Marie-Jo et ses deux amours (2001)

    Tous les films de de Robert Guédiguian se ressemblent : même intrigue (romance plus ou moins contrariée), même lieu (Marseille) et mêmes acteurs (Ariane Ascaride, Gérard Meylan, etc.). Celui-ci ressemble à une publicité… pour les agences de voyage avec quelques scènes de sexe pour faire passer les bavardages.
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  • Feux rouges (2003)

    Film sponsorisé par des institutions. Les premières images de cette adaptation moderne annoncent un film prétentieux et rapidement (14’59) ennuyeux.
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  • Toute la beauté du monde (2005)

    Le scénario laissait prévoir qu’il s’agit d’un film… pour les agences de voyage.
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  • Fragile(s) (2006)

    Un scénario bien fragile qui ne mène nulle part.
    Sens Critique

  • Le voyage en Arménie (2006)

    Je boycotte ce film sponsorisé par des institutions.
    Sens Critique

  • Dialogue avec mon jardinier (2007)

    Jean-Pierre Darroussin est est trés bon, mais Daniel Auteuil pas terrible. La mise en scène est conforme aux films sponsorisés par des institutions.
    Sens Critique
    Henri CUECO, Dialogue avec mon jardinier, 2000 [Partage en ligne].

  • L’armée du crime (2008)

    Faire un film à la fois sur la Résistance et sur les juifs c’est facile surtout quand il est sponsorisé par des institutions. Le politiquement correct permet de faire du fric facilement. Il reprend sans honte le slogan « la France, pays des Droits de l’Homme », 14 ans après le génocide du Rwanda !
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  • La dame de trèfle (2008)

    Encore un film sponsorisé que j’abandonne rapidement.
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  • Le septième juré (2008)

    Ce remake, sponsorisé par des institutions, ne vaut rien. L’histoire, transposée pendant la guerre de la France contre l’Algérie, perd beaucoup en crédibilité. Les effets de musique extradiégétique sont terriblement bavards.
    Sens Critique

  • Rien de personnel (2009)

    Les bavardages de ce film, sponsorisé par des institutions, est rapidement ennuyeux [08’00].
    Sens Critique

  • De bon matin (2010)

    L’inconsistance de la mise en scène plombe rapidement ce film français et donc naturellement sponsorisé par des institutions. Du coup, je n’ai pas envie de savoir pourquoi Jean-Pierre Darroussin, alias Paul Wertret abat deux de ses supérieurs car les raisons sont trop prévisibles.
    Sens Critique

  • L’immortel (2010)

    Richard Berry n’est pas du tout convaincant comme réalisateur d’un polar qui, pire encore, s’inspire d’un fait réel.
    Sens Critique

  • La fille du puisatier (2011)

    Interprétation trop théâtrale. Les mœurs décrits par Marcel Pagnol ont terriblement vieillies.
    Sens Critique
    Marcel PAGNOL, La fille du puisatier, 1941 [Partage en ligne].

  • La mer à l’aube (2011)

    Ce film, sponsorisé par des institutions, est trop politiquement correct pour être honnête. Je doute beaucoup que Ernst Jünger ait dit que La France reste supérieure en matière de goût et de culture [25’30].
    Sens Critique
    Ernst JÜNGER, Oeuvres, [Partage en ligne].

  • Le Havre (2011)

    Ciné Monde

  • Le Havre (2015) (Un film et son époque)

    Ciné Monde

  • Les neiges du Kilimandjaro (2011)

    Plus un réalisateur est connu et reconnu, plus est sponsorisé par des institutions !
    Sens Critique

  • Marius (2012)

    Cette adaptation, sponsorisée par des institutions, fait la publicité d’un Marseille mythique. Le jeu de Marius, Fanny et César n’est pas terrible pas plus que celui de Jean-Pierre Darroussin qui prend l’accent sans convaincre.
    Sens Critique
    Marcel PAGNOL, Marius, 1929 [Partage en ligne].

  • Fanny (2012)

    Cette adaptation, sponsorisée par des institutions, prend les mêmes et recommence la publicité d’un Marseille mythique.
    Sens Critique
    Marcel PAGNOL, Fanny, 1931 [Partage en ligne].

  • Rendez-vous à Kiruna (2012)

    Ciné Monde

  • Une vie (2016)

    Ce film, sponsorisé par des institutions, est une adaptation qui ne vaut pas mieux que celle d’Alexandre Astruc.
    Sens Critique
    Guy de MAUPASSANT, Une vie, 1883 [Partage en ligne].

  • La promesse de l’aube (2017)

    Bien qu’il soit sponsorisé par des institutions, j’ai tenté de regarder cette autobiographie de Romain Gary par curiosité. Mais le jeu de Charlotte Gainsbourg est si ridicule que j’ai abandonné [31’00].
    Sens Critique
    Romain GARY, La promesse de l’aube, 1960 [Partage en ligne].

01/04/2024
Serge LEFORT
Rédacteur de Ciné Monde

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