Commentaires 0-1 CHEN Kaige


Cycle CHEN Kaige (réalisateur)

Voir beaucoup de films implique d’en mettre certains au rebut… susceptibles de plaire à d’autres :

  • Feng yue (1996) – Temptress Moon

    Je me suis endormi au bout d’environ trente minutes tant les intrigues pseudo-érotiques de riches opiomanes dans lesquelles GONG Li s’égare m’ont peu passionné.
    Sens Critique – Chen Kaige 陈凯歌, Chinese Movies

  • Jing ke ci qin wang (1999) – L’Empereur et l’assassin

    Ce film co-produit par la France est très rapidement lassant car les acteurs surjouent. La bande son est bizarre (originale ou copie ?).
    Sens Critique – Chen Kaige 陈凯歌, Chinese Movies

  • He ni zai yi qi (2002) – L’enfant au violon

    Le jeu naturel du jeune violoniste (Yun Tang) et du premier professeur (Zhiwen Wang ) donne la tonalité du film en partie gâchée par le jeu artificiel du père (Peiqi Liu) et de Lili (Hong Chen). Les deux dans la même scène rivalisent dans ce registre [42’22] et [1h10]. Le sentimentalisme de l’enfant abandonné avec son violon qui abandonne tout pour son père adoptif ruine définitivement le film [1h46].
    Sens Critique – Chen Kaige 陈凯歌, Chinese Movies

  • Ten Minutes Older: The Trumpet (2002) [segment 100 Flowers Hidden Deep]

    Le segment de CHEN Kaige n’est pas inintéressant,mais sans plus [1h10-1h20].
    Sens Critique – Chen Kaige 陈凯歌, Chinese Movies

  • Mei Lanfang (2008) – Forever Enthralled

    J’avoue que, certainement par inculture, je n’apprécie pas l’opéra chinois. Il semble que beaucoup de Chinois apprécient cet art sans comprendre la subtilité des codes appréciés par quelques connaisseurs.
    Cette biographie est assez scolaire et soporifique sur la durée. ZHANG Ziyi ne brille pas particulièrement dans le rôle de l’amante.
    Sens Critique – Chen Kaige 陈凯歌, Chinese Movies
    • YING Lin, Mei Lanfang, une vie à l’Opéra de Pékin (5 albums), 2016-2107, [Texte en ligne].

  • Zhao Shi Gu Er (2010) – Sacrifice

    Le premier combat, cliché des arts martiaux, signe les faiblesse de cette adaptation [18’38-22’48]. La suite traîne en longueur. Il reste la belle photographie de YANG Shu.
    Chinese MoviesSens Critique
    • JUNXIANG Ji, L’Orphelin de la famille Zhao, XIIIe siècle [Texte en ligne].

17/12/2021
Serge LEFORT
Passeur de liens et rédacteur de Monde en Question

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